« Les traitements et pensions des ministres des cultes sont à charge de l'État ; les sommes nécessaires pour y faire face sont annuellement portées au budget. […]79 »
À ce titre, l'État belge a dépensé en 200380 :
culte catholique romain : 458,62 millions d'euros ;
laïcité organisée : 75,36 millions d'euros ;
culte islamique : 20,33 millions d'euros ;
culte protestant évangélique : 18,80 millions d'euros ;
culte israélite : 3,21 millions d'euros ;
culte orthodoxe : 2,36 millions d'euros ;
culte anglican : 0,46 million d'euros.
Un septième culte pourrait être reconnu : le bouddhisme. Celui-ci est fort de 30 000 à 50 000 adeptes. Il existe également les Témoins de Jéhovah avec plus de 25 000 adeptes en 201081.
La Belgique compte environ 623 000 musulmans en 2010, ce qui représente 5,8 % de la population totale82.
Arts[modifier | modifier le code]
La vie culturelle belge a eu tendance à se développer dans chaque communauté. Les éléments intercommunautaires sont moins nombreux, en partie à cause de l'absence d'université bilingue, à part l’Académie royale, de médias communs, ni d'organisations culturelles ou scientifiques significatives où toutes les communautés sont représentées. Ces éléments précisés, la Belgique en tant que telle est culturellement connue pour son art raffiné et son architecture. Il y a lieu de remarquer que l'Internet est aussi un élément de fracture communautaire dans la mesure où les deux communautés ne participent pratiquement à aucune communication en ligne commune que ce soit sur le plan culturel, scientifique, technique ou même les loisirs, les francophones fréquentant plutôt les cercles français et les Flamands s'organisant entre eux.
La région correspondant aujourd’hui à la Belgique a été le berceau de mouvements artistiques majeurs qui ont eu une influence importante sur l’art européen. L’art mosan, la peinture flamande de la Renaissance, la peinture baroque, les architectures romane, gothique, Renaissance, baroque et Art nouveau ainsi que la musique classique de la Renaissance sont des éléments majeurs de l'histoire de l’Art.
À ce titre, l'État belge a dépensé en 200380 :
culte catholique romain : 458,62 millions d'euros ;
laïcité organisée : 75,36 millions d'euros ;
culte islamique : 20,33 millions d'euros ;
culte protestant évangélique : 18,80 millions d'euros ;
culte israélite : 3,21 millions d'euros ;
culte orthodoxe : 2,36 millions d'euros ;
culte anglican : 0,46 million d'euros.
Un septième culte pourrait être reconnu : le bouddhisme. Celui-ci est fort de 30 000 à 50 000 adeptes. Il existe également les Témoins de Jéhovah avec plus de 25 000 adeptes en 201081.
La Belgique compte environ 623 000 musulmans en 2010, ce qui représente 5,8 % de la population totale82.
Arts[modifier | modifier le code]
La vie culturelle belge a eu tendance à se développer dans chaque communauté. Les éléments intercommunautaires sont moins nombreux, en partie à cause de l'absence d'université bilingue, à part l’Académie royale, de médias communs, ni d'organisations culturelles ou scientifiques significatives où toutes les communautés sont représentées. Ces éléments précisés, la Belgique en tant que telle est culturellement connue pour son art raffiné et son architecture. Il y a lieu de remarquer que l'Internet est aussi un élément de fracture communautaire dans la mesure où les deux communautés ne participent pratiquement à aucune communication en ligne commune que ce soit sur le plan culturel, scientifique, technique ou même les loisirs, les francophones fréquentant plutôt les cercles français et les Flamands s'organisant entre eux.
La région correspondant aujourd’hui à la Belgique a été le berceau de mouvements artistiques majeurs qui ont eu une influence importante sur l’art européen. L’art mosan, la peinture flamande de la Renaissance, la peinture baroque, les architectures romane, gothique, Renaissance, baroque et Art nouveau ainsi que la musique classique de la Renaissance sont des éléments majeurs de l'histoire de l’Art.